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Connectés dans le monde entier

“Finalement nous nous ressemblons tous”

Si vous travaillez chez Jan De Nul, vous faites entrer le monde sur votre lieu de travail. Il n’est pas nécessaire d’être un grand aventurier pour cela. Chez Jan De Nul, une équipe est souvent un melting-pot unique de nationalités et de talents.

Prenez l’exemple de l’équipe d’Ingénierie d’Analyse de Câbles Offshore. Cette équipe de 7 personnes identifie tous les facteurs qui ont un impact sur l’installation de câbles sous-marins. Ils viennent du monde entier chez Jan De Nul pour assurer la bonne exécution de nos travaux.

Bart Ledoux de la Belgique

Bart Ledoux, Responsable de l’Equipe d’Ingénierie d’Analyse d’Installations Offshore, explique sur quoi il travaille chaque jour avec son équipe: “Un rayon de courbure minimal, une tension maximale et une pression maximale. Lors de l’installation de câbles sous-marins nous devons tenir compte de nombreuses contraintes. Mais le navire câblier est lui-même également soumis aux vagues. Notre travail consiste à analyser l’impact de ces contraintes sur le navire et les câbles, afin de ne pas subir de dommages ou de compromettre les limites des câbles.” Les mouvements d’un navire dépendent d’un certain nombre de variables: la hauteur, la fréquence et la direction des vagues, la charge du navire, la profondeur de l’eau. “En entrant toutes ces variables dans un logiciel spécifique, l’Ingénieur d’analyse identifie les forces qui agissent sur le navire, les câbles et les plateformes offshore. Nous savons donc exactement ce que notre matériel peut supporter”, explique Bart. “Ce modèle est facile à adapter à des situations dont les valeurs changent, comme les conditions météorologiques, le fond de la mer ou des équipements modifiés. Sur la base de nos données, l’équipe de projet détermine une méthode pour installer les câbles. Un élément essentiel de l’opération!”

Javier Riverola de l'Espagne

Ma famille vit à Madrid et à Barcelone, mais j’adore la Belgique! La diversité culturelle de la Belgique et la vision large du monde des Belges m’attirent vraiment.  Le temps ici n’est pas aussi beau qu’en Espagne, mais vous en profitez toujours pleinement. Des marchés, des festivals, des activités en plein air... A chaque occasion, il y a une fête, c’est super! A cause de la pandémie mondiale tous cela a disparu pour le moment.

Victor Yutaka Kondo du Brésil

Jan De Nul nous a permis à ma femme et moi de venir en Belgique. La famille est très importante pour l’entreprise ce que nous apprécions énormément. Ils nous ont soutenus dans toutes nos démarches: visa, vol, logement, ... Le mode de vie belge est très différent du mode de vie brésilien. Pour les Belges, la qualité de vie est primordiale, et c’est ce que j’aime.

Bepo Schira de la Croatie

Je travaille actuellement à Taïwan pour le Parc Eolien Offshore Formosa 2. Avant cela, j’ai passé 4 mois en Belgique. Je me suis fait de nouveaux amis, j’ai visité de belles villes et j’ai goûté des spécialités et des bières locales. Nos cultures sont plus similaires qu’on ne le pense. Finalement, nous nous ressemblons tous.

Nos cultures sont plus similaires qu’on ne le pense. Finalement, nous nous ressemblons tous.

Bepo Schira

Gormus Dogukan de la Turquie

Je suis venu en Belgique pour la première fois en septembre 2014, pour obtenir mon double diplôme de Master à l’université de Liège. Le caractère international de ce pays m’a tellement séduit que j’ai décidé d’y retourner. La Belgique est un véritable centre polyglotte en Europe, tant sur le plan professionnel que personnel. Je le remarque également chez Jan De Nul. Certains jours, je suis en contact avec huit langues différentes. Au début, il faut s’y habituer, mais on s’y habitue rapidement. 

Maria Avgerinou de la Grèce

J’ai déménagé en Belgique car je veux faire carrière dans le secteur offshore chez Jan De Nul. J’habite dans un appartement à Bruxelles avec un colocataire britannique. La ville “respire” l’internationalité: je rencontre des gens du monde entier. La vie en Belgique me semble très agréable, mais la pandémie a paralysé la vie sociale. J’aimerais y vivre dans des circonstances normales.

Thet Thin Zar Lwin du Myanmar

Mon compagnon et moi adorons vraiment vivre à Alost. Les gens y sont si sympathiques! Les différences culturelles avec mon pays d’origine sont assez grandes, mais cela fait maintenant quatre ans que je vis à l’étranger. Je m’adapte donc facilement.